Se reconvertir en Infographiste
avec Anaïs
Avant la reconversion
« Je voulais changer de travail pour exercer dans la communication. En tant que maman, je ne voulais pas prendre le risque d’être entièrement freelance tout de suite. »
Quel était votre parcours avant de vous inscrire à notre formation ?
Pourquoi souhaitiez-vous vous former ?
Aviez-vous des doutes concernant le choix de la formation ?
Aviez-vous des critères pour choisir une formation ?
Pendant la formation
Comment vous avez géré votre emploi du temps et la formation à distance ?
Quel conseil donneriez- vous à une personne qui hésite à suivre cette formation ?
Après la formation
Aujourd'hui, à quoi ressemble votre quotidien au travail ?
- J’ai ouvert mon auto-entreprise : Créatrice en maroquinerie, influenceuse, prestataire en création graphique… Mes nouvelles compétences en PAO (Suite Adobe) m’ont permis de gérer seule la communication de mon entreprise et d’être valorisée auprès de mon employeur.
- J’ai obtenu un poste au service marketing de l’entreprise qui m’employait initialement en tant que standartiste.
Au quotidien, je gère l’organisation d’événements pour les directeurs du groupe, tout ce qui est organisation d’enquête sur le site avec des inscriptions et des événements pour les clients. Je produis des visuels, tout ce qui va être publié sur le site internet en back office. Je m’occupe également de la communication sur les réseaux sociaux (Linkedln et Facebook). Et puis, je crée tout type de support de communication.
Je construis doucement mon projet, mon bagage et mon portfolio pour à terme devenir 100% Freelance.
Comment vous résumeriez votre expérience avec nous ?
Beaucoup d’écoute et vraiment de très bons conseils. J’ai eu pas mal de monsieur Faguier au téléphone. Chaque fois que j’avais des questions, il était conciliant. C’est vrai que l’on ne s’attend pas à autant d’humanité de la part d’un organisme de formation à distance. J’ai fait le CNED plus jeune parce que je n’avais pas le choix pour finir le lycée. Pour moi, c’était des bouquins, des cassettes à l’époque et c’était tout. Il n’y avait pas d’humain derrière. Là, on sent qu’il y a des humains derrière qui sont là pour nous. On est toujours rappelé. Il y a toujours une personne qui répond et qui prend le temps.